jeEn quelques années seulement, le visage de l’Union européenne a considérablement changé. Ses réformes climatiques ambitieuses, également connues sous le nom de Inexperienced Deal européen, ont fait de l’Europe l’économie la plus décarbonée au monde. L’Europe possède la plus grande half d’énergie solaire et éolienne dans son approvisionnement électrique, le plus grand nombre de voitures électriques par rapport à sa inhabitants et est le chief mondial dans le déploiement de pompes à chaleur. Et ce n’est que le début.
En accélérant le développement des énergies renouvelables et en encourageant les économies d’énergie, le Inexperienced Deal pourrait permettre à l’Union de réduire d’un tiers sa consommation de gaz d’ici 2030, ce qui représenterait des économies considérables. Bien plus qu’un easy plan de lutte contre la crise climatique, le Inexperienced Deal est un choix stratégique et structurel pour l’Europe. La transition vers le zéro émission nette est le seul moyen de nous libérer des énergies fossiles et de la volatilité de leurs prix, qui affectent lourdement nos économies et nos citoyens.
Nous devons continuer. On a beaucoup parlé récemment de la nécessité d’une « pause » dans le Inexperienced Deal européen, considéré par certains comme trop coûteux et difficile à mettre en œuvre. Toutefois, un ralentissement serait extrêmement préjudiciable à l’avenir de l’Europe. La course mondiale vers la carboneutralité bat son plein et l’avance prise par l’Europe dans certains domaines est loin d’être assurée.
Les États-Unis rattrapent leur retard grâce à des investissements colossaux. La Chine a une forte emprise sur de nombreuses industries et se positionne comme l’usine mondiale de la transition vers la carboneutralité. Tout ralentissement ou arrêt conduirait inévitablement à une transition européenne « Made in China » ou « Made within the USA ».
Débloquer un nouveau prêt commun
C’est donc le second opportun pour réfléchir et préparer les prochaines étapes du Inexperienced Deal, notamment les étapes industrielles. L’Union européenne devrait saisir l’opportunité de générer des dizaines de milliers d’emplois, de réindustrialiser ses économies et d’établir des positions fortes dans les applied sciences zéro émission nette de demain. Les dirigeants européens peuvent s’appuyer sur les premières mesures prises par la présidente de la Fee européenne, Ursula von der Leyen, qui a proposé des objectifs pour la manufacturing de applied sciences sans carbone sur le sol européen dans le cadre du Internet Zero Business Act (NZIA).
Pour y parvenir, nous devons investir davantage que ce que nous avons fait jusqu’à présent. Selon la Fee, au moins 92 milliards d’euros seront nécessaires d’ici 2030 pour construire une base industrielle solide. Mais à half l’Allemagne et la France, peu de pays disposent des ressources financières nécessaires pour attirer des usines vertes. L’idée d’un nouveau plan stratégique européen d’investissement fait son chemin et mérite d’être approfondie.
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