Le gouvernement britannique a fait valoir que l’économie de premier ordre du Royaume-Uni, axée sur la connaissance, conforte la prétention du pays à devenir une puissance mondiale. Cependant, dans le domaine des sciences et applied sciences de défense, cette proposition n’est pas entièrement convaincante. Même si le Royaume-Uni possède une industrie de défense importante et est un exportateur majeur de produits de défense, il a longtemps sous-investi dans la recherche et le développement de défense par rapport à ses pairs européens. En outre, une dépendance importante à l’égard des importations soulève des questions sur la capacité du Royaume-Uni à maintenir sa liberté d’motion dans sa politique étrangère et de défense. Cela témoigne d’une stress plus massive et persistante dans la politique étrangère du Royaume-Uni après le Brexit : l’écart entre les aspirations à une affect mondiale et les ressources disponibles pour poursuivre cette ambition. Basé sur une interrogation de quatre propositions, cet article soutient que le Royaume-Uni preserve un potentiel considérable après le Brexit, mais qu’il est confronté à plusieurs obstacles dans le développement de sa puissance industrielle de défense.
Ce rapport fait partie de la série de publications externes de RAND Company. De nombreuses études RAND sont publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture, sous forme de chapitres dans des livres commerciaux ou sous forme de paperwork publiés par d’autres organisations.
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