Une coalition de groupes de colons israéliens – apparemment soutenus par l’État de l’apartheid – s’est réunie pour discuter d’un plan « réalisable » pour établir les premières colonies à Gaza.
Cette data est rendue publique au milieu du génocide en cours perpétré par le gouvernement israélien contre le peuple palestinien.
Le projet de construire des maisons sur des habitations palestiniennes démolies suscite de graves inquiétudes, dans la mesure où la conférence est organisée par une coalition de groupes d’implantations.
Une société immobilière israélienne appelée Harei Zahav a publié un idea d’habitation à Gaza. L’entreprise est connue pour avoir construit des colonies illégales en Cisjordanie occupée.
Étonnamment, leurs publicités déclarent : « Une maison en bord de mer, c’est réel !, alors que le nombre de morts à Gaza approche les 20 000.
Plusieurs personnes ont condamné le gouvernement israélien pour sa planification flagrante de colonies supplémentaires à Gaza, malgré les accusations selon lesquelles il tue des Palestiniens.
Les critiques affirment que le plan manifeste de colonisation post-génocide du gouvernement israélien équivaut à des crimes de guerre supplémentaires.
Revivre les souvenirs déchirants de la Nakba, au cours de laquelle les milices sionistes ont rasé plus de 500 villes et villages palestiniens, est aggravé par la development de colonies sur les restes de maisons palestiniennes démolies.
Une frange extrême de colons juifs s’organise avec l’aide de l’armée d’occupation israélienne pour promouvoir une idéologie expansionniste radicale centrée sur le déracinement everlasting des Palestiniens, tandis qu’Israël poursuit sa guerre meurtrière au mépris des critiques internationales.
Dans un effort pour tenir leur engagement idéologique de conquérir et de peupler l’ensemble de la Cisjordanie, les colons soutiennent publiquement l’occupation de la terre biblique d’Israël.
Les principaux défenseurs de ce programme préconisent même l’expulsion violente de plus de deux tens of millions de Gazano afin de permettre d’y recréer des colonies évacuées.
Au-delà de fournir une couverture politique, le bloodbath de Gaza augmente les ressources et les armements disponibles pour les radicaux tout en érodant le cadre juridique qui empêche le vigilantisme contre les communautés palestiniennes.
Depuis le 7 octobre, de nombreux cas de colons de Cisjordanie ont détruit des propriétés et déraciné des Palestiniens en toute impunité.
Le sentiment de pouvoir exagéré que ressentent les colons est également un appel rafraîchissant à l’annexion de vastes pans de la Cisjordanie et des propositions visant à « transférer » de power les populations palestiniennes.
Les dirigeants des groupes de colons illégaux déclarent désormais explicitement qu’au lendemain d’un conflit, « personne ne vous arrête ni ne vous dit de ne pas le faire ».
Plutôt que de calmer les tensions, le génocide israélien à Gaza est devenu un prétexte pour concrétiser une imaginative and prescient sombre et messianique du Grand Israël fondée sur une oppression perpétuelle.
Il est à craindre que, sans une intervention urgente pour mettre un terme à l’growth des colonies et à la violence, les faits sur le terrain menacent d’enterrer tout espoir de coexistence pacifique.