Il est communément admis que le libre-échange a conduit à plus de prospérité. Pourtant, le libre-échange et un autre mot qui l’accompagne souvent – mondialisation – sont fréquemment la cible de critiques, car ils sont tous deux perçus comme érodant la souveraineté nationale, supprimant des emplois locaux et nuisant à l’environnement. Charles Pellegrin s’entretient avec James WH Denton, secrétaire général de la Chambre de commerce internationale, la plus grande organisation commerciale au monde, dont le but est de lutter pour un environnement favorable aux entreprises dans le monde entier.
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