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Le marché mondial du riz est actuellement confronté à une tempête en raison d’un mélange de changement climatique, d’El Niño et de politiques restrictives à l’exportation, notamment de la half de l’Inde pour le riz non basmati. Ces éléments ont poussé les prix mondiaux du riz à leur plus haut niveau depuis 15 ans. En réponse, les habitants de pays comme la Thaïlande et le Vietnam ont commencé à accumuler du riz, craignant de nouvelles hausses de prix. L’agriculture vietnamienne est touchée par le changement climatique, incitant certains agriculteurs à abandonner le riz au revenue d’autres cultures comme la mangue, signalant une baisse à lengthy terme de la manufacturing de riz. Cette année, le Myanmar a rejoint la liste des pays limitant les exportations de riz, et il est prévu que l’Inde, un acteur clé sur le marché mondial du riz, resserre encore ses restrictions à l’exportation l’année prochaine. Ces évolutions dressent un tableau sombre de la disponibilité du riz en 2024. La scenario est exacerbée par la réduction du débit d’eau du Mékong par la Chine en raison de la baisse des précipitations causée par El Nino, affectant les régions productrices de riz.
Sur une be aware plus constructive, certains pays sont à l’abri de cette crise. Le Japon réduit sa consommation de riz, tandis que la Chine et l’Indonésie ont constitué des réserves de riz suite aux pénuries survenues lors de la pandémie de COVID-19. L’Inde a également réduit le prix minimal des exportations de riz basmati, dans le however d’accroître sa half de marché mondiale. Toutefois, ces mesures pourraient ne pas suffire à apaiser les inquiétudes croissantes des gouvernements et des consultants asiatiques, alors que les difficultés économiques s’aggravent parallèlement aux défis climatiques. La voie vers la stabilisation du commerce mondial du riz pourrait dépendre d’un assouplissement des restrictions à l’exportation, notamment en Inde.