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Les pertes d’assurance dues aux catastrophes naturelles au premier semestre 2024 étaient supérieures au produit intérieur brut de plus de la moitié des pays du monde. C’est un chiffre stupéfiant, d’autant plus qu’il exclut les pertes dues à d’autres événements, comme les guerres. Les délais courts et l’imprévisibilité des événements climatiques rendent l’atténuation des risques difficile pour les assureurs. Depuis 50 ans, les événements climatiques signalés et les sinistres assurés ont connu une tendance constante à la hausse. L’analyse de la corrélation entre ces tendances nécessite une étude plus approfondie, notamment sur le rôle d’une amélioration des rapports et des changements de valorisation. Pour l’instant, ce qui ressort clairement, c’est que les coûts d’assurance continueront probablement d’augmenter et, en fin de compte, se répercuteront sur les consommateurs.