Si le reportage de Sky News qui m’est parvenu tôt ce matin n’est pas un canular, le gouvernement américain, de plus en plus considéré dans le monde entier comme une organisation criminelle, n’a pas réussi à convaincre les tribunaux britanniques d’extrader Julian Assange. Washington n’a pas pu ou n’a pas voulu fournir aux Britanniques l’assurance qu’Assange ne serait pas maltraité et privé de ses droits.
Beaucoup d’entre nous pensent qu’Assange a été suffisamment maltraité par le gouvernement britannique, qui l’a maintenu en isolement cellulaire pendant 62 mois, une violation massive de l’habeas corpus, en guise de faveur accordée à Washington.
Peut-être que la « justice britannique » s’est lassée de la honte de servir de geôlier à Washington et d’emprisonner un homme qui n’a été reconnu coupable de rien. Les bons points que les Britanniques gagnaient de la part de Washington étaient contrebalancés par l’apparence de complicité dans l’acte de vengeance de Washington contre un journaliste qui avait publié des informations divulguées embarrassantes pour Washington.
Peut-être que les juges britanniques ont décidé que les 13 années que Washington avait volées à Assange, à sa femme et à ses enfants, étaient suffisantes.
Peut-être Washington a-t-il décidé que 13 années d’incarcération d’Assange, sous une forme ou une autre, suffisaient à servir d’avertissement à tous les journalistes à la portée de Washington pour qu’ils ne dénoncent pas les crimes de Washington. Quelle qu’en soit la raison, Washington a élaboré un accord de plaidoyer pour sauver la face afin de mettre fin à la persécution qui a détruit le Premier Amendement. En échange du plaidoyer d’Assange coupable d’un chef d’accusation de « complot en vue d’obtenir et de divulguer des informations sur la défense nationale », la peine d’Assange sera purgée dans la prison britannique.
Ainsi se termine pour Assange l’un des épisodes les plus honteux de l’histoire du gouvernement américain.
Les Américains ne pourront jamais vivre cette honte que leur inflige Washington, parce que le ministère américain de la Justice (sic) continue de la pratiquer sur les citoyens américains eux-mêmes.
Le régime corrompu de Biden, utilisant des condamnations injustifiées et des plaidoyers de culpabilité forcés, a condamné à la prison 1 000 Américains qui ont exercé leurs droits constitutionnellement protégés pour protester en tant qu’« insurgés ».
Le même régime corrompu poursuit en justice l’ancien président américain, et beaucoup pensent l’actuel, président américain, y compris ses avocats, sur la base de fausses accusations. Cela montre aux Américains que si un président peut être maltraité de cette manière, ils n’ont aucune chance. La conséquence est que la peur pousse les Américains à renoncer à leurs droits et à se soumettre à la tyrannie croissante de Washington.
Mon pays aujourd’hui est totalement différent de ce qu’il était lorsque j’y suis né. L’enseignement universitaire et public vise à enseigner aux nouvelles générations que l’Amérique est un exploiteur raciste blanc et que les gens peuvent naître dans le mauvais corps, le sexe d’une personne étant désormais déterminé par une auto-déclaration. Les Démocrates aux États-Unis et les partis au pouvoir en Europe sont déterminés à remplacer leurs populations ethniques par des envahisseurs immigrés. Ceci, combiné à ce qui est endoctriné dans les écoles, détruit la civilisation occidentale. Il y a déjà très peu d’engagement politique et intellectuel en ce sens. Les universités blanches sont les détracteurs les plus enragés de la civilisation occidentale.
D’ici novembre, nous devrions connaître trois choses qui, selon leur évolution, accéléreront ou ralentiront notre disparition.
La première est que nous saurons ce que les démocrates vont faire à Trump, et si c’est un scandale, si les gens l’accepteront par peur d’être traités comme les manifestants du 6 janvier ont été traités.
Une autre question est que nous saurons si le rejet des partis européens au pouvoir lors des récentes élections parlementaires européennes se répercutera sur les élections nationales françaises. Si tel est le cas, cela marquera le retour du nationalisme européen et le début de l’éclatement de l’OTAN et du bellicisme américain.
La troisième est que nous saurons si Washington et ses marionnettes européennes sont suffisamment fous pour déployer des soldats de l’OTAN en Ukraine et continuer à tirer des missiles sur des civils russes comme le fait Israël sur les Palestiniens. Si Poutine accepte ces provocations, comme il l’a fait auparavant, nous pourrions être confrontés à la montée d’un chef de guerre russe qui mettrait fin à notre existence et à celle de l’Europe.
Le fait que ces trois points ne soient pas des points centraux dans les discussions occidentales signifie un manque de sensibilisation et de préparation en cas d’évolution défavorable des événements.
Pendant ce temps, la jeunesse américaine est confrontée à la conscription et à la déprogrammation alors que les citoyens de la civilisation occidentale font défiler leurs téléphones portables à la recherche constante de divertissement.