Ce lundi 26 février 2024, Alssandra Mussolini, petite-fille du dictateur italien, a été agressée à Strasbourg en marge de la session au Parlement européen.
L’Eurodéputée italienne Alessandra Mussolini, petite-fille dictateur aussi connu sous le nom de “Duce”, se trouve actuellement en France pour siéger au Parlement européen. L’élue de Forza Italia, parti de droite qui appartient à la coalition gouvernementale de Giorgia Meloni, a déclaré avoir été agressée ce lundi dans les rues de Strasbourg, rapporte France Bleu.
“J’ai été agressée par quelqu’un qui parlait italien”
La femme politique de 61 ans a déclaré dans une vidéo X (ex-Twitter) avoir été prise à partie et agressée dans les rues de la capitale alsacienne. “Je suis choqué par ce qui s’est passé”, a-t-elle mentionné dans son tweet.
“J’ai été agressée par quelqu’un qui parlait italien. Je suis ici à Strasbourg et ai subi une série d’insultes folles. Celui-là avait une sorte de béquille, il m’a frappée dans le dos, sur les épaules. Il y a trop de violence, je suis désemparée”, a-t-elle détaillé dans la vidéo mise en ligne, relayée par BFMTV.
Dès le lendemain, la petite-fille du dictateur italien a tenu à remercier toutes les personnes qui lui ont apporté leur solidarité sur les réseaux sociaux.
L’agression est survenue alors qu’Alessandra Mussolini se rendait à un dîner aux alentours de 20 h 30 ce lundi. L’eurodéputée, en état de choc après l’attaque, a fait l’objet d’un examen médical.
Cet incident a fait réagir plusieurs personnalités politiques d’extrême-droite d’Italie.
Au nom de la délégation @fdieuropa j’exprime ma solidarité et ma proximité à ma collègue @Ale_Mussolini_ pour l’agression brutale dont elle a été victime ce soir au centre de Strasbourg. Que les forces politiques soient unanimes dans leur condamnation : pas de place pour les personnes violentes et intolérantes !
– Carlo Fidanza ن (@FidanzaCarlo) 26 février 2024
“Au nom de ma délégation, j’exprime ma solidarité à ma collègue pour l’agression brutale donc elle a été victime ce soir au centre de Strasbourg. Que les forces politiques soient unanimes dans leur condamnation : pas de place pour les personnes violentes et intolérantes !”, a déclaré Carlo Fidanza, membre de Fratelli d’Italia.