« Une coalition d’idéologues qui entend vous empêcher de travailler et de vivre dignement. » C’est ce qu’est, pour Laurent Wauquiez et Patrice Pannekoucke, qui l’a remplacé à la tête du conseil régional, l’Office français de la biodiversité, chargé des contrôles environnementaux. « Et nous espérons, écrivaient-ils il y a quelques jours dans un courrier adressé aux agriculteurs de Rhône-Alpes, que se posera sérieusement la question de sa dissolution. »
Lundi 17 mars, la Confédération paysanne a apporté son soutien sans réserve aux agentes et agents de l’office. Voilà des semaines qu’ils sont sous la pression constante de la FNSEA et de la Coordination rurale, proche du Rassemblement national, qui les accusent de harcèlement.
Pour toute la région, 140 contrôles administratifs et, en tout et pour tout, 27 suites, à mettre en parallèle avec 1 436 déplacements pour assurer des indemnisations à la suite d’attaques de troupeaux principalement par des loups. Laurent Wauquiez, qui s’en est pris aussi dimanche aux associations environnementales « pastèque », vertes à l’extérieur, rouges à l’intérieur, et qui se rêve en président, nous fait son petit Trump en tapant du pied.
La Terre de nos batailles
La justice climatique, c’est notre bataille. Celle qui relie luttes environnementales et sociales pour contrer un système capitaliste faisant ventre de tout. Du vivant, de la planète, de notre humanité.
Il n’y a pas de fatalité.
Nous démasquons les manipulations des lobbies.
Nous battons en brèche les dénis climatiques mortifères.
Nous mettons en valeur les initiatives visant à réduire les inégalités environnementales et les fractures sociales.
Soutenez-nous.Je veux en savoir plus