Il a fallu hâter la conclusion autour du sort d’Atos, après de longs mois d’incertitudes. C’est que l’entreprise est le pilier technologique des JOP de Paris (gestion des accréditations, diffusion instantanée des résultats ou encore cybersécurité…) et ne pouvait être fragilisée davantage. L’offre de reprise menée par Onepoint, entreprise de David Layani et déjà actionnaire d’Atos, a été choisie au détriment de celle de l’homme d’affaires tchèque Daniel Kretinsky.
La proposition retenue annulait le moins de dettes. Elle a donc eu la faveur des créanciers. « L’accord définitif de restructuration financière sera ensuite mis en œuvre par le biais d’une procédure accélérée dédiée d’ici juillet 2024 », a précisé Atos, mardi, dans un communiqué.