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L’Union européenne s’efforce de réduire sa dépendance à l’égard de l’énergie russe, notamment du gaz naturel. Même s’il semble easy de trouver de nouveaux fournisseurs d’énergie, c’est en réalité une tâche difficile. Cela implique de mettre en place la logistique, la technologie et l’infrastructure adéquates. L’UE a néanmoins réalisé des progrès notables, ce qui correspond à ses objectifs à lengthy terme.
Entre le deuxième trimestre 2022 et 2023, l’UE a considérablement réduit ses importations de pétrole russe, passant de 15,9 % à 2,7 %. Cette réduction a été largement compensée par l’augmentation des importations en provenance de Norvège, du Kazakhstan, des États-Unis et d’Arabie saoudite. Un changement similaire se produit avec le gaz naturel. La Norvège et les États-Unis sont devenus les principales nouvelles sources, fournissant respectivement du gaz naturel et du gaz naturel liquéfié.
En plus de trouver de nouveaux fournisseurs, l’UE a également réussi à remplir ses installations de stockage de gaz. Avant l’hiver, le bloc a réussi à remplir plus de 90 % de ses réserves de gaz, ce qui le place dans une place décente pour les mois à venir, même si la Russie réduit ses approvisionnements.