Publié le : 23/11/2023 – 16:37
Alors que les ventes du Black Friday débuteront le 24 novembre, nous examinerons de plus près le secteur de la vente au détail, de l’essor du commerce électronique en direct aux conséquences environnementales du consumérisme et aux mouvements du « Vendredi vert » qui tentent de changer notre consommation. des habitudes.
Le marché mondial du commerce électronique devrait atteindre 6 300 milliards de {dollars} en 2023. D’ici l’année prochaine, 21 % du complete des ventes au détail seront réalisées par voie numérique. Ces ventes ont lieu de plus en plus sur les plateformes de médias sociaux, atteignant plus de 900 milliards de {dollars} cette année. Une entreprise américaine tente de capitaliser sur cette tendance. Nous parlons à Armand Wilson de Whatnot, une utility de « shopatainment » fondée en Californie en 2019 et d’une valeur de 3,7 milliards de {dollars}.
Course également le berceau du livestreaming e-commerce : la Chine. Les influenceurs y sont devenus les visages du retail et du advertising, comme le rapportent nos correspondants.
Toute cette consommation a un coût, notamment pour la planète. En 2022, la semaine du Black Friday a entraîné le rejet de 1,2 million de tonnes de CO2 en Europe en raison de l’augmentation du nombre de camions transportant des marchandises à travers le continent. C’est 94 pour cent de plus qu’une semaine moyenne.
En France, le collectif « Vendredi vert » a été créé en 2017 pour sensibiliser aux risks du consumérisme et présenter des alternate options. Nous nous entretenons avec Tancrede Girard, responsable des communications chez REFER, un réseau de centres qui vise à encourager le recyclage et la réutilisation des biens de consommation et membre du collectif « Inexperienced Friday ».